2019

 
 

Château de Tarascon : Château médiéval, construit au début du XVe siècle (1400-1435) par les comtes de Provence-Barcelone. Beaucoup de péripéties ont jalonné sa vie, ayant même servi de prison.

Les graffitis l’attestent largement

Nous n’avons pas visité le château,

donc, emprunt sur Wikipédia, ci-dessous.


        Sainte Marthe (Fascicule offert par l’église)


<< Vers l’an 48, venant de Palestine où ils étaient persécutés, les Saintes Maries échouèrent sur les côtes de Provence.

  Dans la région d’Avignon, Marthe fut appelée par les habitants terrorisés de Tarascon pour les délivrer d’un monstre, la Tarasque, qui dévorait hommes et bêtes.
  Après avoir, par la croix, dompté la bête qui fut achevé par les habitants, elle resta à Tarascon, évangélisant la ville.>>


  Je me garderais bien de donner tous les détails de sa longue vie, cet édifice ayant subi les outrages du temps et des hommes, comme ses «frères».

Ce serait trop long.

Notre première escale : Chapelle Saint Gabriel XIIe

nous permet d’admirer sa façade inspirée des décorations romaines du Bas-Empire. Très riche architecture, détaillée sur le site myprovence.fr.

Fermée, nous ne pouvons pas visiter l’intérieur.

Nos amis marcheurs se préparent à l’échauffement sous les oliviers avant d’entreprendre leur randonnée, sous la direction de Chantal, animatrice.

Quant à nous, Flâneurs, remontons dans le car, et découvrons la ville, qui mériterait d’autres visites.

L’heure du repas sonnera bientôt, et le club des boulistes nous offre l’hospitalité. Tables et chaises.

Le ciel est clément, pas de vent, pas de pluie !  

Le repas n’en est que plus savoureux. L’occasion de faire la connaissance de nouvelles amies botanistes (en devenir, pour certaines)                                  

  Les bébés abandonnés porteront

le nom des tissus provençaux...


Et maintenant quelques photos:

L’humour existait et existe encore à Tarascon, et partout, espérons-le !

Une maladresse m’a fait effacer la page détaillant notre visite du Musée.


SOLEIADO «Le soleil perce les nuages après la pluie» !


Magnifique histoire de ces cotonnades, de ces indiennes, arrivées des Grandes Indes, fin XVIè, merveilles de couleurs inaltérables, débarquant à Marseille. Elles font encore aujourd’hui le régal des yeux, et pour ceux qui ont les moyens, des tenues vestimentaires d’une grande finesse.

Bien sûr, bien des avatars ont tourmenté cette belle histoire, mais en avril 2009, SOLEIADO renaît de ses cendres sous la tutelle de Daniel et Stéphane Richard, provençaux d’origine.

Ne pas oublier les accessoires, nombreux, originaux, sacs, verreries, poteries, ciergeries. Les boutis n’ont pas d’âge, ils existent encore, le linge de table, les rubans etc.

Toute l’histoire est détaillée sur leur site. Rendez-lui visite. Intéressant.


Belle journée en agréable compagnie. Merci aux organisatrices.